Et si l’IA se faisait vigneronne ? l’article fake

Lendemain de fêtes difficiles…Personne n’avait vraiment envie de s’y mettre, chez Génération Vignerons. Il faut dire que notre magazine va bientôt fêter ses 10 ans avec près de 600 articles publiés ! Alors on a demandé à ChatGPT de nous rédiger l’article de la semaine sur le métier, la vie du vigneron, pensant que ça serait plié en un clin d’oeil !

Au bout d’une journée et d’une centaine de prompts (les instructions dictées à l’IA) il a bien fallu se rendre à l’évidence que ça ne serait pas si simple ! Trop de généralités lissées, scolaires, consensuelles, emphatiques voire lyriques sans réel intérêt…Alors le lendemain, nous avons tenté de lui demander d’installer un dialogue entre nous. Un dialogue dans lequel ChatGPT serait le vigneron. Et là, nous avons été scotchés : l’IA en connaissait un rayon ! Bluffant ou glaçant, c’est selon.

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Génération Vignerons : Bonjour, peux tu imaginer un dialogue de 1000 mots dans lequel tu serais vigneron et Génération Vignerons te poserait des questions sur ta vie, ton expérience ?

ChatGPT : Bien sûr, je peux certainement rédiger un article sur la vie du vigneron en me mettant dans la peau du vigneron (Moi) et dans la tienne (Toi). Voici un aperçu de ce que cela pourrait être:

Toi : Salut ! J'ai récemment développé un intérêt pour l'agriculture et la viticulture. En tant que vigneron, comment as-tu commencé dans ce domaine ?

Moi : Salut ! C'est un plaisir de partager mon parcours. J'ai hérité de l'exploitation viticole de ma famille, mais cela ne signifie pas que tout était acquis. J'ai ressenti le besoin de comprendre le métier en profondeur. J'ai suivi des cours d'œnologie pour apprendre les aspects techniques de la vinification, et des cours de gestion agricole pour comprendre l'aspect commercial. Cela m'a vraiment aidé à développer une vision holistique de mon travail de vigneron.

Toi : C'est fascinant ! En tant que vigneron, quelles sont les principales difficultés auxquelles tu fais face dans ton quotidien ?

Moi : Certainement, la viticulture n'est pas sans ses défis. L'un des plus grands défis est de composer avec les aléas climatiques. Les gelées tardives, les canicules soudaines, ou même les tempêtes peuvent avoir un impact sur la qualité des raisins. Gérer ces imprévus nécessite une attention constante et une réactivité rapide pour minimiser les pertes.

Toi : Et comment fais-tu face à ces défis météorologiques ?

Moi : C'est une partie inévitable de la viticulture. Nous utilisons des technologies météorologiques avancées pour suivre de près les prévisions et prendre des mesures préventives lorsque c'est possible. Par exemple, l'utilisation de filets anti-grêle peut protéger les vignes contre les dommages causés par la grêle.

De plus, nous avons des installations de contrôle climatique dans certaines zones des vignobles pour minimiser les effets des températures extrêmes.

Toi : En parlant du marché, comment gères-tu l'aspect commercial de ton exploitation ? Y a-t-il des stratégies que tu as trouvées particulièrement efficaces ?

Moi : Absolument, l'aspect commercial est un élément clé. Outre la qualité du produit, la relation avec les distributeurs locaux est cruciale. Participer à des événements vinicoles et organiser des dégustations sur place ont été des stratégies efficaces pour créer une connexion directe avec les clients. En termes de marketing, raconter notre histoire, mettre en avant le terroir unique de nos vignes et la passion qui sous-tend notre travail a grandement renforcé notre position sur le marché.

Toi : Et comment as-tu développé cette histoire autour de tes vins ?

Moi : Raconter notre histoire a été un processus organique. Nous avons mis l'accent sur notre héritage familial et l'engagement envers la qualité depuis des générations. La passion pour la terre et le respect du terroir sont des éléments que nous mettons en avant dans notre communication. De plus, nous partageons régulièrement des vidéos et des photos des coulisses de la production sur les médias sociaux pour permettre aux clients de se connecter davantage avec notre processus.

Toi : Et en termes de durabilité, quelle est ton approche dans la gestion des vignes ?

Moi : La durabilité est au cœur de nos préoccupations. Nous avons adopté des pratiques agricoles biologiques pour minimiser l'utilisation de produits chimiques et préserver la biodiversité. L'utilisation d'énergies renouvelables, comme l'énergie solaire, contribue à réduire notre empreinte carbone. La préservation de la terre pour les générations futures est une responsabilité que je prends très au sérieux.

Toi : Et comment impliques-tu ton équipe dans cette vision durable ?

Moi : Impliquer l'équipe est essentiel. Nous organisons des sessions de sensibilisation régulières pour expliquer l'importance de nos pratiques durables. De plus, nous encourageons les idées novatrices et offrons des incitations pour des initiatives écologiques au sein de l'exploitation. Cette approche collaborative renforce le sentiment d'appartenance à un projet plus vaste.

Toi : Quels conseils donnerais-tu à quelqu'un qui souhaite se lancer dans la viticulture ?

Moi : La passion est le moteur de tout. Il faut aimer la terre, les vignes, et être prêt à travailler dur. La formation et l'éducation sont également cruciales. Se tenir au courant des dernières pratiques viticoles, des tendances du marché et des avancées technologiques permet de rester compétitif. Enfin, ne sous-estimez pas l'aspect commercial. Savoir vendre son histoire et ses vins est aussi important que la qualité du produit.

Toi : Merci pour ces conseils. Et pour les personnes qui n'ont pas nécessairement une exploitation héritée, comment recommanderais-tu de démarrer dans la viticulture ?

Moi : C'est une excellente question. Pour ceux qui n'ont pas une exploitation héritée, je recommanderais de commencer par acquérir de l'expérience pratique. Travailler dans des vignobles existants, suivre des stages, et peut-être même travailler à l'étranger dans des régions viticoles renommées peut apporter une compréhension pratique du métier. En parallèle, suivre des cours d'œnologie et de gestion agricole est essentiel pour développer les compétences nécessaires.

Toi : Merci pour ces précieux conseils. Enfin, quels sont tes projets futurs pour ton exploitation viticole ?

Moi : Nous avons plusieurs projets passionnants en vue. Tout d'abord, nous envisageons d'étendre notre gamme de vins en introduisant de nouvelles variétés de raisins. Nous explorons également la possibilité d'ouvrir une salle de dégustation sur place pour offrir une expérience plus directe aux visiteurs. En termes de durabilité, nous cherchons à investir davantage dans des technologies respectueuses de l'environnement pour réduire notre impact écologique. De plus, nous examinons les opportunités d'exportation pour partager nos vins avec des marchés internationaux.

Toi : C'est passionnant ! Merci beaucoup pour ces éclaircissements approfondis sur le monde de la viticulture. Je te souhaite tout le succès possible dans tes projets futurs.

Moi : Merci à toi ! C'était un plaisir de discuter de ma passion pour la viticulture. Si tu as d'autres questions à l'avenir, n'hésite pas.ChatGPT

Génération Vignerons

PS : Tant qu’à faire on a aussi demandé à Midjourney, un générateur d’images par IA, de nous produire les illustrations. Tout est fake !

Ecrit par Génération Vignerons
Catégories : le métier

2 commentaires

  1. Victor dit :

    je trouve vos débats intéressants et j’ai pris des informations car je désire moi aussi avoir de la vigne.
    Continuez c’est une belle porte qui s’ouvre pour les débutants .

    1. Francois SAIAS dit :

      merci pour vos encouragements et pour votre fidélité !

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